> Date de sortie : 21 Janvier 2021
> Editeur : Julliard
À travers une vaste fresque historique et familiale, Laurent Bénégui reconstitue l’épopée d’une branche de sa famille, partie faire fortune à Cuba au début du XX e siècle . Une rencontre palpitante entre la petite et la grande Histoire.
RÉSUMÉ
C’est à la faveur d’un incroyable faisceau de coïncidences que Laurent Bénégui s’est résolu à entreprendre une enquête fouillée sur le destin d’une partie de sa famille, des paysans béarnais partis pour Cuba au tournant du siècle dernier. Resurgissent alors en lui des souvenirs enfouis, datant du milieu des années 1960, où, petit enfant, il aperçoit, dans la propriété de ses cousins, à Guantánamo, Raúl Castro qui tire à coups de kalachnikov sur des noix de coco pour le faire rire . Pourquoi son oncle, alors à la tête d’une très fructueuse plantation de café, est-il brusquement rentré en France quelques années plus tard, alors que le régime castriste semblait si tolérant à son présumé ? Comment une obscure dispute entre frères at-elle pu brouiller l’Autant de questions qui suscitent chez le romancier l’envie de remonter le temps, jusqu’à la guerre de 14-18, et de reconstituer le départ de son grand-père Léopold, femme enceinte à ses côtés, vers cette lointaine île des Caraïbes . Entre enquête personnelle et fragments romanesques, exhibant les ressorts qui font naître la fiction chez un auteur, Laurent Bénégui parvient alors à faire revivre cette génération oubliée d’exilés volontaires, partie s’aventurer avec un courage extraordinaire sur des terres étrangères, à la recherche d’une vie meilleure. Sans oublier de relater son propre retour à Cuba, aussi émouvant que rocambolesque, sur les traces de cette lignée jusque-là effacée de sa mémoire.jusqu’à la guerre de 14-18, et de reconstituer le départ de son grand-père Léopold, femme enceinte à ses côtés, vers cette lointaine île des Caraïbes. Entre enquête personnelle et fragments romanesques, exhibant les ressorts qui font naître la fiction chez un auteur, Laurent Bénégui parvient alors à faire revivre cette génération oubliée d’exilés volontaires, partie s’aventurer avec un courage extraordinaire sur des terres étrangères, à la recherche d’une vie meilleure. Sans oublier de relater son propre retour à Cuba, aussi émouvant que rocambolesque, sur les traces de cette lignée jusque-là effacée de sa mémoire. jusqu’à la guerre de 14-18, et de reconstituer le départ de son grand-père Léopold, femme enceinte à ses côtés, vers cette lointaine île des Caraïbes.Entre enquête personnelle et fragments romanesques, exhibant les ressorts qui font naître la fiction chez un auteur, Laurent Bénégui parvient alors à faire revivre cette génération oubliée d’exilés volontaires, partie s’aventurer avec un courage extraordinaire sur des terres étrangères, à la recherche d’une vie meilleure. Sans oublier de relater son propre retour à Cuba, aussi émouvant que rocambolesque, sur les traces de cette lignée jusque-là effacée de sa mémoire. exhibant les ressorts qui font naître la fiction chez un auteur, Laurent Bénégui parvient alors à faire revivre cette génération oubliée d’exilés volontaires, partie s’aventurer avec un courage extraordinaire sur des terres étrangères, à la recherche d’une vie meilleure.Sans oublier de relater son propre retour à Cuba, aussi émouvant que rocambolesque, sur les traces de cette lignée jusque-là effacée de sa mémoire. exhibant les ressorts qui font naître la fiction chez un auteur, Laurent Bénégui parvient alors à faire revivre cette génération oubliée d’exilés volontaires, partie s’aventurer avec un courage extraordinaire sur des terres étrangères, à la recherche d’une vie meilleure. Sans oublier de relater son propre retour à Cuba, aussi émouvant que rocambolesque, sur les traces de cette lignée jusque-là effacée de sa mémoire.
J’ai travaillé sur ce pendentif romain trois ans. En plus de l’écriture proprement dite, j’ai mené une enquête et entrepris une série d’interviews qui m’ont conduit à Cuba sur les traces de ma famille, dont certains membres ont émigré là-bas depuis plus d’un siècle . Le plus difficile à écrire était le début. Il fallait trouver la justesse de ton et l’équilibre entre invention romanesque et réalité historique.” Au travers d’une fresque historique et politique couvrant plus d’un siècle.”
Laurent Bénégui transforme les membres de sa famille en personnages de fiction, nous faisant découvrir avec émotion leur vie, infiniment romanesque.
Ritmacuba
” A la source des rythmes, au coeur de la musique et de la danse cubaines “
Laurent Bénégui a remporté le grand prix de Littérature policière en 1999 pour La Paresse de Dieu. Mon pire ennemi est sous mon chapeau a reçu le prix Albert Bichot en 2012. La Part des anges a reçu le prix de l’Académie Rabelais en 2019. Il est également l’auteur de SMS et Au Petit Marguery, tous deux adaptés au cinéma .
Retour à Cuba en images
La presse et Retour à Cuba
Serge Raffy L’obs “Bénégui joue les détectives, mène l’enquête sur le terrain, dans un Cuba où le fantôme de Fidel hante rues et villages. Il fait ressurgir les drames familiaux, les non-dits, les malentendus, dans un style ébouriffant et lumineux. L’autofiction est parfois d’un romanesque étincelant.”
Marie Rogatien Figaro Magazine “L’auteur du merveilleux Au petit Marguery plonge dans son incroyable histoire familiale aux allures de flamboyante épopée historique et politique, qu’il révèle de son écriture lumineuse et précise. Hasta la victoria siempre, Comandante Bénégui !”
Marie-Lilas Vidal Sud-Ouest : “Retour à Cuba est un puzzle que tente de reconstituer l’auteur, pour comprendre son histoire personnelle et celle de tous ceux qui émigrent, déchirés entre deux continents.”
Emission avec Frédéric Taddéi Interdit d’interdire
Femme actuelle “Une puissance narrative rarement égalée”
Christophe Mangelle Fringale culturelle “Laurent Bénégui revient avec un roman très personnel, comme un carnet historique familial, mais dans lequel chaque lecteur sera emporté car l’auteur arrive à parler au nom de tous. Il touche à l’universalité.”
Marie-Anne Georges La Libre Belgique “Voici le résultat, un passionnant Retour à Cuba. Laurent Bénégui entremêle merveilleusement la petite et la grande histoire faisant de Retour à Cuba, une chatoyante fresque qui comporte aussi un précieux message “A l’heure où les peuples traversant la Méditerranée inquiètent nos sociétés, nous devons nous souvenir que nombre de nos ancêtres avaient été les premiers à fuir la misère et les guerres, à chercher le salut sur une autre rive.”
Isabelle Rüf Le Temps “Laurent Bénégui remonte le fil d’une saga marquée par l’empreinte du silence. Une plongée émouvante dans la «petite» et la «grande» histoire.”
Bertrand Ruault Sowhat magazine “L’auteur a réussi un remarquable équilibre : dialogues et galerie de portraits, épopée familiale qui croise à de nombreuses reprises l’Histoire, des anecdotes historiques et le récit de la vie quotidienne sous le régime de Fidel Castro, le tout saupoudré de délicates pincées de l’humour caractéristique de l’auteur. Personnellement, un coup de cœur.”
Entretien avec Dan Burcea dans Lettres Capitales : “Chercher notre sang dans l’encre du livre”
> America Nostra “Une enquête à suspense qui marie la politique et l’histoire internationale. On découvre et on comprend beaucoup de choses en lisant cet attachant Retour à Cuba. Cette vision est à mettre en parallèle avec celle, par exemple, de Leonardo Padura, le grand romancier qui vit toujours à La Havane et qui analyse avec une distance remarquable l’évolution de ce pays qu’il aime profondément, malgré tout.”
Soraya_bouquine Instagram “Laurent Bénégui nous entraîne, avec émotion et authenticité pour un voyage passionnant de la Havane à Paris dans l’aventure cubaine d’une famille française du Béarn.”
www.baz-art.org “Récit autobiographique mais aussi roman d’aventure et essai géopolitique sur la guerre froide, «Retour à Cuba» est aussi drôle et passionnant que Tintin et les Picaros et avec un final presque aussi « angoissant » que “Sorcerers” le film de William Friedkin. ”
Anne Leblé http://annearoundtheworlds.blogspot.com “Laurent Bénégui nous entraîne sur les traces de ses ancêtres dans une fabuleuse enquête sur son histoire familiale. Il se dégage de cet ouvrage le souffle romanesque des grandes épopées.”
Émile Cougut https://wukali.com/ “Retour à Cuba est une quête sur ses racines, sur la vérité d’un mythe familial. En arrière-plan, l’histoire de Cuba : la vie dans la campagne au temps de Batista, mais aussi la révolution avec les ambiguïtés de Castro et le poids idéologique de son frère et du Che…. Il n’y a aucune nostalgie, une quête la plus « objective » possible n’omettant pas les secrets peu avouables de ses ancêtres. Laurent Bénégui sait qu’il en est le dépositaire…. Donc on s’enrichit.
Caroline Doudet Cultur’Elle “Un roman tour à tour drôle et émouvant, très instructif sur l’histoire de Cuba, et qui est avant tout une histoire de transmission, de lignée, d’héritage, particulièrement prenante ici car aventureuse et cachant des secrets.”
Gilles Moutardier Bulles de culture « Le roman alterne avec bonheur le récit des investigations de l’auteur (« Le processus de création se situe au cœur de ce projet, autant moteur que sujet ») et la reconstitution imaginée de scènes mettant en œuvre les personnages de sa famille passée.
Philisine Cave Je me livre “L’auteur se met à découvert tout en retenu : c’est doux, poli, charnel, rond et il arrive à atteindre l’universalité, en ne s’épargnant pas.”
Interview de Laurent Bénégui : Retour à Cuba
“J’ai travaillé sur ce roman pendant trois ans. En plus de l’écriture proprement dite, j’ai mené une enquête et entrepris une série d’interviews qui m’ont conduit à Cuba sur les traces de ma famille, dont certains membres ont émigré là-bas depuis plus d’un siècle. Le plus difficile à écrire était le début. Il fallait trouver la justesse de ton et l’équilibre entre invention romanesque et réalité historique.” Au travers d’une fresque historique et politique couvrant plus d’un siècle,”
Laurent Bénégui transforme les membres de sa famille en personnages de fiction, nous faisant découvrir avec émotion leur vie, infiniment romanesque.